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أهواك ! مدينتي أهواك يا مدينتي دون غيرك لأني رئيت آلنوربين ظهرانك أهواك حتى لا أهوى سواك ليرفرف ألقلب والفؤاد لك أنا منك مهما أبعدوني عنك وسيضل ألحنين يشدني إليك لن يرتاح البال حتى أزورك ولن تنام عيني حتى أتفقدك لقد قالوا عنك مدينة ألرياح وأجمعوا لك وإليك كل آلسواح بأنكي قبلتهم وراحتهم فقصدوك كثيرا منهم عمروك وأسكنوك وآخرين تملكوا واستثمروا بك فما مكانتي بين هؤلاء وهؤلاء فلا حول ولا قوة لي إلا صبري لا حيلة لي ألا دمعتي وحزني عليك
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Une Perte Dans La Ville
Mogador-Taghart-Essaouira _ آلصويرة. ثاغارت. موكادور :: Historique آلتاريخ :: Essaouira-scala آلصويرة آلصقالة :: nouvelles de la Ville أخبار آلمدينة
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Une Perte Dans La Ville
Re: une perte dans la ville
Hifad le Sam 14 Nov - 12:17
.Mes sincères condoléances pour tous les membres de sa famille et pour tous les souiris .
Lorsque j'étais au CFI d'Essaouira nous avions reçu un groupe de stagiaires de l' IPABO d'Amsterdam et j'ai tenu à ce qu'on mette au programme la visite de l'atelier de cette regrettée amoureuse de la peinture au sens noble du terme .Rachid m'a contacté hier pour me signaler un reportage sur la vie de Ben Hilate sur la 4 e chaîne mais malheureusement , je n'ai pas pu le voir car le moteur de ma parabole ne fonctionne pas et je retrouve heureusement le commentaire à ce sujet de si Hamid Kaabour.Ina lilah wa ilayhi rajiôun!
Paix.
Hifad
Admin
condoléance
tassila le Sam 14 Nov - 11:50
.salamo 3alaykoume
alah yarhamha ina lilah wa ina ilayhi raji3oun, vraiment benhila c'est une perte pour essaouira.
tassila
Re: une perte dans la ville
hamid kaabour le Sam 14 Nov - 10:41
.Vraiment Mr David est une perte , Behila Regraguia est une souiria autodidacte en art palastique , son ecole maternelle est Essaouira ,son domicil paternel se trouve a derb adouar , sa premeire exposition etait en 1988 chez Damgaurd apres avoir etre encourage par son voisin professeur de français "Brahime Slihi " que Benhala allah irhamha , l' a invite pour opinion et critiques de ses premiers traveaux , brahime est etonne par ses tableaux ,il a senti qu elle honte et que les autres vont se moquer (comme d habitude chez certains ) ,il lui a propose de voir Dameguard ..ce premier pas a ete reussit ,mais elle n a pas s echappee de l exploitation due a sa naivete et a sa pauvrete ...
Benhila a dit :" Quand je peins ,je sens malade comme une femme sur le point d accoucher "
Elle a un esprit plein d imaginations des contes de l enfance effrayantes exprimees dans les plus parts de ses motifs naifs .
Le filme :Ragraguia " , c est completement hors sujet de sa vie a part queques evenement reels de sa vie traites d une façon illogique hors de la raison , ce filme est presentee par un decore aisé et des personnages imaginaires ..Benhila est nee pauvre et decedee pauvre ,ces dernier jours avec son appareil d oxygene qu il n a jamais separe , s est installee chez son engendre " kamal nacer peintre a douar laarab , elle n a meme pas un domcil propre a Essaouira ....
hamid kaabour
.
une perte dans la ville
Bouhadana David le Ven 13 Nov - 23:27
."Une femme née comme moi à Essaouira en 1940, dans une famille où le père était pêcheur, n'avait d'autre choix que de passer sa vie à laver des peaux de moutons dans les vagues de l'Atlantique, même durant la saison des vents. Je partais le matin tôt avec ma mère Mbraka et ma grand-mère Tahra vers l'océan. Une fois les peaux nettoyées et séchées, on enlevait la laine et on la filait. Après, on la vendait à celles qui tissaient djellabas ou tapis. De temps en temps, je tissais un tapis, mais juste pour les besoins de la famille. Un tapis prend un temps fou et le prix qu'on t'offre est toujours ridicule. Je gagnais mieux en me limitant à traiter les peaux et à filer la laine."
Accompagnée de sa mère et de sa grand-mère, Regraguia passait chaque soir, sur le chemin du retour d'une journée de travail à la mer, devant les galeries qui jalonnaient les ruelles de la ville. " J'étais fascinée par les galeries, mais ce n'est qu'en 1986, à qua - rante-six ans que j'ai eu le courage d'y entrer. Et pourtant je rêvais sans cesse de prendre le pinceau" . .
Bouhadana David
Hifad le Sam 14 Nov - 12:17
.Mes sincères condoléances pour tous les membres de sa famille et pour tous les souiris .
Lorsque j'étais au CFI d'Essaouira nous avions reçu un groupe de stagiaires de l' IPABO d'Amsterdam et j'ai tenu à ce qu'on mette au programme la visite de l'atelier de cette regrettée amoureuse de la peinture au sens noble du terme .Rachid m'a contacté hier pour me signaler un reportage sur la vie de Ben Hilate sur la 4 e chaîne mais malheureusement , je n'ai pas pu le voir car le moteur de ma parabole ne fonctionne pas et je retrouve heureusement le commentaire à ce sujet de si Hamid Kaabour.Ina lilah wa ilayhi rajiôun!
Paix.
Hifad
Admin
condoléance
tassila le Sam 14 Nov - 11:50
.salamo 3alaykoume
alah yarhamha ina lilah wa ina ilayhi raji3oun, vraiment benhila c'est une perte pour essaouira.
tassila
Re: une perte dans la ville
hamid kaabour le Sam 14 Nov - 10:41
.Vraiment Mr David est une perte , Behila Regraguia est une souiria autodidacte en art palastique , son ecole maternelle est Essaouira ,son domicil paternel se trouve a derb adouar , sa premeire exposition etait en 1988 chez Damgaurd apres avoir etre encourage par son voisin professeur de français "Brahime Slihi " que Benhala allah irhamha , l' a invite pour opinion et critiques de ses premiers traveaux , brahime est etonne par ses tableaux ,il a senti qu elle honte et que les autres vont se moquer (comme d habitude chez certains ) ,il lui a propose de voir Dameguard ..ce premier pas a ete reussit ,mais elle n a pas s echappee de l exploitation due a sa naivete et a sa pauvrete ...
Benhila a dit :" Quand je peins ,je sens malade comme une femme sur le point d accoucher "
Elle a un esprit plein d imaginations des contes de l enfance effrayantes exprimees dans les plus parts de ses motifs naifs .
Le filme :Ragraguia " , c est completement hors sujet de sa vie a part queques evenement reels de sa vie traites d une façon illogique hors de la raison , ce filme est presentee par un decore aisé et des personnages imaginaires ..Benhila est nee pauvre et decedee pauvre ,ces dernier jours avec son appareil d oxygene qu il n a jamais separe , s est installee chez son engendre " kamal nacer peintre a douar laarab , elle n a meme pas un domcil propre a Essaouira ....
hamid kaabour
.
une perte dans la ville
Bouhadana David le Ven 13 Nov - 23:27
."Une femme née comme moi à Essaouira en 1940, dans une famille où le père était pêcheur, n'avait d'autre choix que de passer sa vie à laver des peaux de moutons dans les vagues de l'Atlantique, même durant la saison des vents. Je partais le matin tôt avec ma mère Mbraka et ma grand-mère Tahra vers l'océan. Une fois les peaux nettoyées et séchées, on enlevait la laine et on la filait. Après, on la vendait à celles qui tissaient djellabas ou tapis. De temps en temps, je tissais un tapis, mais juste pour les besoins de la famille. Un tapis prend un temps fou et le prix qu'on t'offre est toujours ridicule. Je gagnais mieux en me limitant à traiter les peaux et à filer la laine."
Accompagnée de sa mère et de sa grand-mère, Regraguia passait chaque soir, sur le chemin du retour d'une journée de travail à la mer, devant les galeries qui jalonnaient les ruelles de la ville. " J'étais fascinée par les galeries, mais ce n'est qu'en 1986, à qua - rante-six ans que j'ai eu le courage d'y entrer. Et pourtant je rêvais sans cesse de prendre le pinceau" . .
Bouhadana David
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